La Franc-maçonnerie : Qu’est ce que c’est ? Fascicule 1

Le reflet du monde intellectuel et politique de l’histoire de France du XVIIème siècle au début du XXème siècle.

Retrouvez le premier des 5 fascicules regroupant les travaux d’Anido MIROLO sur la Franc-maçonnerie.

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A droite, les nouveaux amis de l’UMP agacent

Le ralliement du souverainiste De Villiers, puis du chasseur traditionaliste Nihous à l’UMP crispe les anciens alliés, comme Jean-Marie Bockel, ex-PS, le Nouveau Centre et le Parti Radical

Le rapprochement vers l’UMP amorcé par Philippe de Villiers et les chasseurs CPNT est censé élargir l’influence de la majorité avant les régionales mais il crispe certaines de ses composantes, notamment pro-européennes, qui mettent en garde contre un trop «grand écart» des idées.

Le président du Mouvement Pour la France a annoncé mardi qu’il rejoindrait à la rentrée le «comité de la majorité» présidentielle, structure multipartite chargée de coordonner l’UMP et ses partenaires en vue des prochaines échéances électorales, notamment les régionales de 2010.

Le MPF en sera «la composante souverainiste» et «il sera plus efficace» de faire valoir sa position «à l’intérieur de la majorité plutôt qu’à l’extérieur», expliquait alors M. de Villiers.

«Seul, on ne peut plus rien faire. Soit on est condamné à la marginalité, soit on s’agglutine à un gros parti», a pour sa part justifié le président de Chasse, pêche, nature, traditions, Frédéric Nihous lassé de prendre «claque sur claque aux élections», pour expliquer les discussions avec Xavier Bertrand.

Mais cet élargissement à droite qui vise à alimenter le réservoir de votes pour les régionales de 2010, par exemple pour reconquérir les Pays de la Loire où ces deux formations ont un poids certain, n’est pas forcément du goût des autres petits partis libéraux et europhiles déjà associés ou alliés à l’UMP.

«Tensions inéluctables»

Le président de la Gauche Moderne Jean-Marie Bockel n’a pas mâché ses mots pour mettre en garde contre un risque de «tangage» de la majorité après ce rapprochement qui n’est pas «anodin, ni facile».

«Ce sont quand même des personnes qui ont défendu des positions, je pense surtout à Philippe de Villiers, très éloignées de celles que j’ai moi-même prônées ou défendues», notamment les questions de société, ou l’Europe, a-t-il tranché.

Le Parti Radical a aussi fait entendre sa voix. «Des tensions apparaîtront inéluctablement», a averti la présidente des Jeunes Radicaux Annabelle Ferry, évoquant un «grand écart évident entre les valeurs d’une droite souverainiste et celles d’une droite européenne».

Pour le président d’honneur du Parti radical, André Rossinot, «il y a une légitimité à évoquer d’éventuelles alliances électorales avec de Villiers comme avec CPNT» mais cela «nécessite d’engager une réflexion».
Le Nouveau centre, partenaire principal de l’UMP, accueille ces nouveaux arrivants en émettant des réserves. Ainsi sur la question européenne, M. de Villiers devra «mettre de l’eau dans son vin», juge le député Nouveau Centre Jean-Christophe Lagarde en soutenant sans conditions la politique européenne de Nicolas Sarkozy.

Le NC entend aussi rester vigilant sur d’éventuelles dérives extrémistes de Philippe de Villiers. «Chaque fois qu’il aura des discours proches de Jean-Marie Le Pen, nous serons nombreux dans la majorité à lui rappeler ce que sont les valeurs de la République», avertit M. Lagarde.

Du côté de l’opposition, les réactions sont mitigées. Si François Bayrou a préféré «ne pas commenter», un haut responsable du MoDem a confié que «l’arbre tombe toujours du côté où il penche».

Quant au PS, il se focalise essentiellement sur la stratégie de rassemblement de la majorité. Michel Sapin juge ainsi que la droite «copie avec intelligence» ce que les socialistes avaient fait aux élections régionales de 2004 à l’origine de leur «très grande victoire».

Le Front national lui n’y voit rien d’autre qu’une «auberge espagnole où chacun peut venir avec son manger».

Source : la charente libre

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La taxe carbone, c’est quoi ?

Cette taxe, c’est quoi ? Les débuts d’une fiscalité verte pour lutter contre les gaz …

À l’origine de la taxe carbone, aussi appelée contribution climat-énergie, écotaxe ou facture carbone, il y a le réchauffement climatique. Pour amener les consommateurs à participer à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, les écologistes ont très tôt plaidé en faveur d’un recours à l’arme fiscale. On allait amener les consommateurs à modifier leur comportement en taxant les produits polluants — les énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole).

Nicolas Hulot s’est fait le porteur le de ce nouvel impôt lors de la dernière campagne présidentielle. Elle était devenue l’élément clé de son pacte écologique, signé par tous les candidats. Alors que régnait encore une incertitude sur son avenir au Grenelle de l’environnement, l’Élysée a décidé d’accélérer sa mise en œuvre, annonçant son introduction dans la fiscalité française dès 2010.

Son objectif est de diviser par quatre la consommation de CO2 en France à l’horizon 2050 en modifiant les comportements de consommation des ménages et les modes de production des entreprises.

Source : la tribune

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41 % des habitants redoutent le chômage

Les Seine-et-Marnais craignent plus de perdre leur emploi que d’être victimes d’une agression. C’est le principal enseignement d’une enquête réalisée par la région.

Peur de perdre son emploi, de sombrer dans la spirale infernale menant à la pauvreté. Le chômage est devenu la préoccupation première de 41 % des Seine-et-Marnais. Un chiffre qui est le même que pour la moyenne des Franciliens. Mais une donnée qui devance de beaucoup le sentiment d’insécurité, principale inquiétude pour seulement 15,6 % des habitants du département.

C’est le résultat d’une enquête menée en 2009 par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme (IAU) pour le compte du conseil régional. La région finance depuis 2001 des études évaluant le sentiment d’insécurité et les agressions dont les Franciliens sont victimes. Des sondages menés tous les deux ans auprès de 10 500 ménages.

Le chômage, première préoccupation. Le constat est vrai depuis 2003. Alors que, en 2001, 39 % des Seine-et-Marnais redoutaient d’être agressés, la peur du chômage et de la pauvreté est désormais plus forte. Loin devant la crainte de la pollution et du sida. ’enquête souligne pourtant que les agressions sont de plus en plus nombreuses : soit une « hausse de 25 % entre 2000 et 2008 ». « On constate donc une relative indépendance entre la préoccupation sécurité et l’exposition aux victimations », analyse l’IAU.

Un sondé sur deux a peur d’être agressé. 49,7 % des Seine-et-Marnais reconnaissent tout de même avoir peur, au moins de temps en temps, d’être agressés. Le département arrive en troisième position derrière la Seine-Saint-Denis et le Val-d’Oise. Principales sources d’angoisse : prendre les transports, surtout le RER, et marcher seul le soir dans son quartier. Problèmes de drogue, vandalisme, rassemblement de jeunes, les sondés « sont toutefois de moins en moins nombreux à déclarer ce type de nuisances dans leur quartier ». A noter que les Seine-et-Marnais sont deux fois plus sujets à avoir peur chez eux que les Parisiens ou les habitants des Hauts-de-Seine.

La vidéosurveillance jugée rassurante. Deux Franciliens sur trois jugent rassurante la surveillance vidéo dans les transports. Et la proportion augmente avec l’âge, puisque 76,8 % des plus de 75 ans se sentent en sécurité grâce aux caméras contre 52 % pour les 20-24 ans.

Stéphanie Auguy

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Le ministre du Budget ne veut pas d’une taxe carbone à 32 euros la tonne

Le ministre du Budget Eric Woerth estime que la taxe carbone à 32 euros la tonne (proposition de la mission Rocard) est trop élevée. "C’est à mes yeux une marche trop haute", déclare Eric Woerth dans une interview au Figaro Magazine. Mais il rappelle que le président de la République et le Premier ministre arbitreront.

Le ministre du budget n’écarte plus l’éventualité d’un "chèque vert", une proposition du ministre de l’écologie, Jean-Louis Borloo, pour laquelle il s’était déclaré défavorable début juillet.

Source : Ouest France

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Les nouvelles attributions de Jean Louis Borloo sont traduites dans un décret

Le Premier ministre, François Fillon a présenté, aujourd’hui un décret modifiant le décret du 31 mai 2007 relatif aux attributions du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables, à l’occasion du Conseil des ministres.

Ce décret modifie le décret du 31 mai 2007 afin de traduire l’évolution du périmètre des attributions confiées au ministre d’Etat.

En sus de ses précédentes attributions, Jean Louis Borloo est responsable du développement et de la promotion des technologies vertes et se voit confié la compétence de ministre chargé du Logement.

En lien avec le ministre des affaires étrangères et européennes, il est en charge des négociations européennes et internationales sur le climat. En concordance avec les enjeux traités dans le cadre du « Grenelle de la mer », la compétence du ministre d’Etat au titre de la mer est par ailleurs précisée, indique la communication.

C. SEGHIER

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EDF-Voltalis: Borloo veut changer la loi

Jean-Louis Borloo dénonce "l’existence d’obstacles juridiques et financiers au développement d’offres innovantes d’économies d’énergie", dans un communiqué diffusé lundi.

Après l’avis rendu par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), imposant à l’opérateur Voltalis de rémunérer EDF "pour l’énergie injectée par ces fournisseurs et valorisée par l’opérateur d’effacements diffus", le ministre dit vouloir remédier à cette situation et annonce l’installation d’un groupe de travail qui devra "proposer les évolutions nécessaires au cadre légal", avec pour objectif prioritaire de "favoriser les économies d’énergie et dans le respect des intérêts de chacune des parties prenantes".

Source : le JDD

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Fontainebleau, capitale du tourisme du futur

Fontainebleau accueillera d’ici à 2010 l’un des quatre pôles du centre de recherche national sur le tourisme. Le but : adapter les métiers et les offres aux désirs des touristes.

Avec 17 millions de visiteurs, la Seine-et-Marne accueille chaque année la moitié des touristes franciliens. Elle vient d’être choisie pour l’implantation, d’ici à 2011, d’un centre de recherche sans précédent chargé d’innover dans le domaine du tourisme. D’où la création, mercredi après-midi, du « premier pôle d’excellence du tourisme de Seine-et-Marne », qui s’installera à Fontainebleau.

Il intégrera l’Institut français du tourisme (IFT), un projet soutenu par l’Etat, qui sera officiellement lancé le 30 septembre à Paris.

Fontainebleau sera complémentaire de trois autres pôles touristiques : Paris, Côte d’Azur et Grenoble-Rhône-Alpes.

Il sera implanté dans un bâtiment du château (voir encadré). Le but est de réfléchir au tourisme de demain, aux futures attentes des visiteurs pour créer de nouvelles activités et rester au point dans ce domaine. Lionel Walker est vice-président du conseil général, chargé de ce dossier. « Nous avons réuni tous les acteurs publics et privés de Seine-et-Marne et d’ailleurs, susceptibles de participer à ce pôle : les universités comme celle de Marne-la-Vallée, la chambre de commerce, le centre de formation des apprentis aux métiers du tourisme, Disney, etc. »

Jean-Luc Michaud est le responsable de l’IFT : « Même si la France est une des premières destinations touristiques au monde, elle a des lacunes en matière de performance de ses professionnels. On a, par exemple, très peu de formation de haut niveau. D’où l’idée de créer dans le 77, un master de manageur du tourisme international, par exemple. Nous avons d’autres pistes à creuser, vu le profil du département : tourisme d’affaires, des actions liées à la nature, la culture et le patrimoine ou les loisirs périurbains. »

Laurent Devillers, directeur du comité départemental du tourisme, parle d’« emplois à créer ». « Cela va aller de pair avec la création de produits touristiques. En ce moment, nous réfléchissons déjà avec les responsables des centres équestres à la façon originale de développer leurs activités. »

Pascal Villebeuf

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Les amis d’Europe Ecologie sont aussi les amis de Jean-Louis Borloo

Autour de la liste Europe Ecologie se rassemblent plusieurs personnalités dont certaines entretiennent depuis longtemps des liens avec Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet.

Le rassemblement emmené par Daniel Cohn-Bendit s’appuie en partie sur d’anciens réseaux proches du centre droit et de feu Génération écologie. Ainsi, l’association Ecologie sans frontière, conseil de longue date de personnalités de droite, et dont on retrouve plusieurs membres comme fondateurs de l’association des Amis d’Europe Ecologie.

Jade Lingaard

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Le Parlement adopte le projet de loi de règlement des comptes 2008

Le Parlement a adopté mercredi, après un ultime vote du Sénat, le projet de loi de règlement des comptes 2008 de la  France, qui indique un déficit budgétaire de 56,3 milliards d’euros.

Le Sénat a adopté le texte, par 179 voix contre 154, dans les mêmes termes que l’Assemblée nationale le 29 juin, rendant son vote définitif. La majorité UMP et centriste a voté pour, l’opposition de gauche PS, PCF contre.

Le solde budgétaire s’est dégradé de 14,6 milliards d’euros par rapport au budget initial. Le déficit budgétaire est supérieur de moitié à celui constaté pour 2007, qui s’établissait à 38,4 mds d’euros.

L’ensemble des déficits publics a atteint 3,4% du PIB.

"Cette détérioration est la traduction des chocs que nous avons connus l’année dernière", "le choc de l’inflation sur le premier semestre qui s’est répercuté sur la progression des dépenses" et celui de "la crise économique qui s’est développée à la fin" de 2008, a souligné le ministre du Budget, Eric Woerth.

Il a évalué le manque à gagner à 11,7 milliards d’euros dans les recettes de l’Etat, dont "8,5 mds d’euros expliqués par la crise". Il a mis l’accent sur la baisse des effectifs de fonctionnaires, "de l’ordre de 28.000 alors que l’objectif fixé en loi de finances se bornait à 23.000".

Le président de la commission des Finances, Jean Arthuis (Union centriste) a fustigé le "gonflement du déficit budgétaire" et "l’alourdissement de la charge de la dette publique à laquelle on se résigne".

Il s’est toutefois félicité de la "maîtrise des dépenses" en 2008 et notamment des effectifs de l’Etat.

La gauche a dénoncé les allègements d’impôts et de cotisations sociales dont le paquet fiscal voté en 2007. Elle a attribué le déficit budgétaire "désastreux" (Thierry Foucaud, PCF, Seine-Maritime) aux "réformes structurelles inadaptées" plus qu’aux chocs de la crise et de l’inflation (Bernard Angels, PS, Val-d’Oise).

"Notre pays ne peut continuer à vivre avec des déficits structurels endémiques", a estimé pour le RDSE (radicaux), Aymeri de Montesquiou.

M. Arthuis a présenté un amendement "pédagogique", appuyé par la gauche, visant à intégrer dans les dépenses budgétaires une fraction de l’amortissement de la dette accumulée par l’Etat pour alerter sur la "dérive" de cette dette, avant de le retirer.

Source : AFP

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