Borloo ? Il travaille !

Alors que certains se demandent où est passé Jean-Louis Borloo, ce dernier répond être très occupé à la préparation du prochain sommet de Copenhague en décembre, réunion au cours de laquelle se joue la suite à donner au protocole de Kyoto. "La troisième manche, la plus passionnante !", selon le numéro 2 du gouvernement.

Alors qu’à l’Elysée certains murmurent que "Borloo a disparu de l’écran radar!" l’ex-très médiatique ministre de l’Environnement confie s’investir dans la préparation du prochain sommet de Copenhague. Après avoir réuni les ministres européens à Paris il y a quelque temps de cela, afin de finaliser une position commune, il se rendra prochainement négocier aux Etats-Unis puis au Kenya. "Si cette négociation échoue, vos enfants ne verront pas la fin de l’histoire!"confie-t-il.

Jean-Louis Borloo mise donc beaucoup sur un accord à Copenhague. Invité hier sur Canal +, il affirmait que sans accord, ce serait "le début d’un chaos diplomatique, moral, écologique et climatique". "Il y a extrême danger, le réchauffement climatique est presque dans l’irréversible" ajoute-t-il avant d’expliquer que seul ‘"un accord vraiment ambitieux pour les pays industrialisés" peut permettre d’enrayer le phénomène.

La sortie de crise passera par l’économie verte

"Nous sommes la première génération de l’histoire de l’humanité qui a entre ses mains, en moins d’une décennie, le sauvetage de la planète ou le drame absolu", ajoute le ministre qui a martelé par ailleurs que "la seule sortie de la crise passera par l’économie verte" et qu’on allait "faire en 5, 6 ou 7 ans une mutation de nos économies que la dernière révolution industrielle a faite en 50 ou 60 ans". "Cela va à une vitesse folle, le comportement des consommateurs a complètement changé", s’est-il réjoui.

source : enviro 2B

 

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Où est passé Borloo ?

« Borloo a disparu de l’écran radar ! » murmure-t-on à l’Elysée. Numéro 2 du gouvernement, seul à avoir le rang de ministre d’Etat, le Monsieur Ecologie de l’équipe Fillon se fait très discret. « Quand Sarkozy était numéro 2 du gouvernement, on l’entendait tous les matins ! » compare un de ses détracteurs. A l’UMP, dont il est le vice-président, on accuse le patron du parti radical valoisien de jouer les hommes invisibles. « Je fais ma quote-part » répond Borloo, qui se tient à l’écart des petites phrases.

« Il bosse ! » répliquent ses proches. « Surentrainé », comme il dit, après les Grenelle de l’environnement français et européen et « trois tours du monde », Borloo confie qu’il est à fond dans la préparation du sommet sur le climat prévu au Danemark en décembre pour donner une suite au protocole de Kyoto.

« La troisième manche, la plus passionnante ! » Après avoir réuni des ministres européens à Paris il y a peu, pour caler une position commune, il évoquera le sujet en Sicile, cette semaine, au G 8 environnement, puis ira négocier aux Etats-Unis fin avril, et au Kenya fin mai. « Si cette négociation échoue, vos enfants ne verront pas la fin de l’histoire ! » menace-t-il. Il a aussi dans ses cartons des projets sur la croissance verte.

Bref, il le jure : « Je suis un ministre assez heureux ».

Et pourtant, dans les coulisses du pouvoir, on dit qu’il est « déprimé », qu’il rêve d’un nouveau défi. Lui-même a cette drôle de formule : « J’ai l’impression d’avoir 250 ans ». Sa popularité s’érode : dans le dernier baromètre Ifop pour « Paris Match », il n’est plus que le 4e ministre le plus populaire. « Il est dans un placard doré. On se demande s’il y a eu un Grenelle ! Le plan de relance passe par l’autoroute, le président vend du nucléaire partout.

Il incarne quoi aujourd’hui ? Une coquille vide ! » regrette le Vert Noël Mamère, qui avait fondé Génération écologie avec lui et Brice Lalonde en 1991. Pour les amis de son ex-secrétaire d’Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet, avec qui Borloo ne s’entendait guère, la « dynamique » n’est plus là…

Quand on lui demande s’il a des fourmis dans les jambes, l’électron libre du gouvernement, 58 ans, assure que non, mollement Après la colère de Nicolas Sarkozy contre ses ministres ambitieux, il ne fait pas bon afficher ses desiderata… « Ce n’est pas moi qui’décide », élude-t-il. Avant d’ajouter : « Si le président a un énorme défi, je pense qu’il est pour moi. » Un rendez-vous avec Sarkozy a été pris.

II y a peu, Borloo a calculé qu’il avait occupé « deux tiers » des postes gouvernementaux en sept ans, sous les gouvernements Raffarin, Villepin et Fillon. « Il a un petit côté inoxydable, pépère ! » rigole-t-il en parlant de lui-même.

A l’aube du remaniement, son nom a été cité pour la Justice, l’Education ou même un ministère… de l’Intelligence. Mais, à l’Elysée, on laisse entendre qu’il ne bougera pas tout de suite. Et Premier ministre ? S’il fait partie du club fermé des candidats éventuels, peu y croient « Immaîtrisable », juge l’un. Sarkozy lui-même aurait eu cette phrase avant la présidentielle : « Je ne vais pas nommer Gainsbourg à Matignon ! » Borloo se console en soulignant que « la sortie de crise passe par le développement durable » et que son ministère, de l’Enere à l’Environnement, pèse « 39 %» du PIB. Un petit Matignon, en somme…

Nathalie SCHUCK
Le Parisien

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Lacement du site de la Fédération départementale de Seine et Marne

  

Le nouveau site départemental de la Seine et Marne prend son envol. James CHERON, Président de la fédération vous invite à faire de cet outil de communication, un espace d’échange et de partage pour tous.

Il attend vos contributions sous la forme de prises de positions ou de coupures de presse reprenant vos actions radicales. N’hésitez pas à lui communiquer des thèmes d’actions futures.

 

Bonne courage à James et son équipe pour cette superbe initiative.

Richard de LEMENY

 

Accéder directement au Site départemental

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Riester, l’apprenti d’Hadopi

A 35 ans, Franck Riester paye pour apprendre. Rapporteur du projet de loi dit Hadopi, le jeune député, piégé par l’opposition, a vu "son" texte être rejeté par l’Assemblée nationale cette semaine. Dans les petits papiers de l’Elysée, l’homme doit désormais prouver sa capacité de rebond. Objectif: le scrutin européen, pour lequel il a été nommé directeur de campagne de l’UMP.

Il était scotché à son banc, possédé par l’appréhension de la catastrophe, mais empêché de réagir: le rapporteur d’un projet de loi n’a pas le droit de se déplacer dans l’hémicycle. A un moment, il s’est levé quand même, rattrapé par l’huissier – "Riester, au banc!" – pour souffler à un assistant du groupe UMP: "Il se passe quelque chose, les socialistes préparent un truc!" Mais c’était trop tard, on allait voter, et Franck Riester, 35 ans, député UMP de Seine-et-Marne, a vu soudain jaillir des socialistes goguenards, les renforts narquois de l’opposition qui, à l’arraché, allait battre, ce jeudi, "son" projet Hadopi contre le téléchargement illégal, 21 députés à 15…

Sarkozy flaire l’ambitieux efficace

Plus tard, s’il devient ce qu’il promet d’être, un taulier de la droite, il se souviendra de l’histoire comme d’une anecdote d’apprentissage. Aujourd’hui, il est juste vexé, sachant qu’il n’est pas le plus coupable alors que toute la machine UMP a raté, mais se demandant quand même s’il n’aurait pas dû crier plus fort. "J’aurais dû exiger qu’on appelle Copé…" convient-il. Il est triste, tant il y croit, refusant la "démagogie de la gratuité", mais confiant que le projet, simplement retardé, repassera: "Si la droite n’assume pas la défense de la propriété intellectuelle, on ne sert à rien."

Ainsi va ce jeune volontariste. Diplômé de gestion, futur grand techno du capitalisme chez Arthur Andersen, il a changé de vie en reprenant la concession automobile de son père, à Coulommiers, il y a dix ans. "Vendeur de bagnoles" dans la vraie vie et militant RPR depuis l’adolescence. Longtemps, il était l’espoir et l’ami de Guy Drut, avant de s’émanciper. En 2007, il rafle la circonscription, puis la mairie un an plus tard. Sarkozy flaire l’ambitieux efficace. Copé veut le parrainer, en voisin et ami. "Je suis l’autre député de Meaux", précise-t-il, et il lui obtient cette charge de rapporteur qui a mal tourné. L’Elysée le fait bombarder directeur de campagne de l’UMP aux européennes. "Quand je pense que je votais non à Maastricht à 18 ans!", confesse Franck Riester. Le faux gamin qui va cornaquer Barnier et Dati, sous l’oeil intéressé de la droite qui regarde s’envoler un autre aigle de Meaux?

Par Claude ASKOLOVITCH
Le Journal du Dimanche

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SNCF, retards chroniques en Seine-et-Marne

Le ton monte chez les usagers de la SNCF des lignes du sud du département de Seine-et-Marne. Certains d’entre eux ont entamé une grève des billets.

Depuis le 14 décembre et la mise en place des nouvelles grilles horaires, les conditions de transport vont de mal en pis, accusant aujourd’hui près de 600 heures de retard cumulé sur plusieurs lignes : Nemours-Paris, Montereau-Melun-Paris et Montereau-Fontainebleau-Paris.

Le nouveau cadencement mis en place par la SNCF et le Stif (Syndicat des transports d’Îlede-France) provoque la mobilisation croissante des voyageurs réunis au sein de mouvements comme le Codut (Comité de défense des usagers des transports) ou le collectif Seine Rivedroite.

«Après plus de trois mois de pratique, le bilan est consternant, déclare Claudine Foy, l’une des fondatrices du collectif Seine Rive-droite. C’est un échec total pour les usagers de la desserte Montereau-Paris et plus particulièrement sur la ligne Seine Rive-droite. Les conditions de transports ne sont plus du tout à la hauteur d’un véritable service public avec un allongement de 20 à 50 minutes des trajets, des trains supprimés, des correspondances non assurées. Avant ce nouveau cadencement, nos lignes ne connaissaient pas de gros problèmes. Nous exigeons dès maintenant le retour de nos trains directs pour Paris.»

En trois mois, les usagers mécontents ont multiplié les courriers, alerté les élus locaux et les parlementaires, rédigé des motions, lancé des pétitions (5 000 signatures).

Pour l’heure, les deux mouvements ont décidé d’augmenter la pression avec des actions plus spectaculaires. Alors que le Codut a lancé une grève des billets (lire encadré), le «Collectif» envisage de porter l’action jusque dans les murs du conseil régional, comme c’était le cas dernièrement en séance plénière.

«Après plusieurs courriers et des demandes de rendez-vous auprès du président de la Région, nous n’avons eu à ce jour pour seule réponse que le silence, souligne Claudine Foy. Nous interpellons Jean-Paul Huchon, président de la Région et du Stif pour qu’il se bouge, retrousse ses manches et tape enfin du poing sur la table face à la SNCF.

Pourquoi le Stif n’est-il pas plus exigeant envers la SNCF?»

Les usagers vont même plus loin et réclament le remboursement des titres de transports (122 euros par mois) par la SCNF pour service non rendu. Du côté du Stif, on rétorque, au contraire, que plusieurs réunions ont déjà permis de recenser l’ensemble des doléances et qu’elles sont actuellement en cours d’étude.

«Le problème posé aux usagers de la rive droite est structurel et il est lié à la capacité d’accueil de la gare de Lyon. Il dépasse de loin la bonne volonté du Stif», précise un responsable. Un nouveau rendez-vous entre le Stif et les deux associations d’usagers est prévu le 28 avril. Sans que ces dernières, qui réclament toujours de voir Jean-Paul Huchon, sachent qui sera leur interlocuteur.

En attendant, selon elles, les heures de retard et la colère s’accumulent.

Jean-François CALTOT
DirectmatinPLUS

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Fluctualion de la taxe d’habitation et de l’impôt sur le foncier bâti en Seine et Marne

A la veille des municipales, certaines mairies avaient joué la prudence pour ne pas risquer de déconvenue électorale. Aujourd’hui, alors que beaucoup de  maires ont serré leur budget de fonctionnement pour épargner leurs administrés, d’autres viennent de voter de très importantes hausses sur la taxe d’habitation et l’impôt sur le foncier bâti.

TABLEAU RECAPITULATIF DES PLUS IMPORTANTES VILLES DE SEINE ET MARNE

(Source : Le Parisien)

RAPPEL PRATIQUE

La taxe locale finance les équipements collectifs et les services rendus aux administrés par les communes. 

La taxe d’habitation est réglée par les propriétaires et les locataires occupant un logement au 1er janvier de l’année d’imposition.  Les personnes à faibles revenus en sont exonérées. Des abattements peuvent être consentis en cas de personne à charge par exemple.

Le calcul de la taxe local est réalisé en fonction en fonction du bien locatif déclaré au cadastre. Ce calcul tient compe de la localisation géographique, de la vétusté et du confort du bien.

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Des espoirs d’embauches dans les travaux publics

Alors que la Seine-et-Marne compte 41 130 chômeurs, beaucoup d’espoirs reposent sur les travaux publics. Dans ce secteur, une entreprise sur deux envisagerait d’embaucher.

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Le très haut débit arrive

Un réseau de 1200 km de fibres optiques est disponible en Seine-et-Marne pour les communes voulant profiter de l’Internet très haut débit.

Le conseil général a organisé hier un colloque d’inauguration du réseau «SEM@FOR77» pour expliquer ses avantages, avec des connexions 1000 fois plus rapides que l’ADSL. 

Cette infrastructure «permettra de générer de l’activité. Nous ne voulons pas que la Seine-et-Marne soit un département dortoir» argumente Bertrand Caparroy, vice-président du conseil général chargé de l’aménagement numérique.

L’installation a coûté 80 millions d’euros. Selon Ariel Turpin, chef du service technologies de l’information et de la communication: «Nous visons d’abord les raccordements aux entreprises, administrations et services publics.
Je ne vois pas d’accès pour les particuliers avant 2010.»

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L’énergie est à nos pieds

Le réseau de chauffage de Chelles, en Seine-et Marne, illustre le renouveau de la géothermie.

Nous marchons sur une réserve inestimable et inépuisable d’énergie : la Terre. Plus on creuse, plus elle est chaude, ainsi que les eaux souterraines qu’elle abrite. Depuis l’Antiquité, ces eaux thermales ont été utilisées par les communautés qui habitaient là où elles jaillissaient naturellement des profondeurs. Puis les forages ont suivi, se développant notamment après les chocs pétroliers des années 1970. C’est le cas pour la ville de Chelles, qui s’appuie depuis désormais un quart de siècle sur cette source renouvelable d’énergie.

Un développement soutenu

Les bas prix du pétrole dans les années 1990 et le coût important des forages (environ 10 millions d’euros) ont signé un ralentissement de son développement. Mais la nouvelle donne environnementale et énergétique retourne les projecteurs vers les sous-sols. Le réseau de chaleur de Chelles, qui permet d’alimenter en chauffage et en eau chaude plus de 3 600 logements collectifs et près de 700 équivalents logements en bâtiments publics, a ainsi connu une progression de 22% en cinq ans. A l’horizon 2013, ce sont 7 500 équivalents logements qui devraient être raccordés au réseau.
La ville de Chelles a l’avantage d’être située au cœur du bassin sédimentaire parisien où se trouve la plus grande formation aquifère de France, le deuxième étant le bassin aquitain. A 1 800 mètres de profondeur se trouve une nappe d’ancienne eau de mer à 69 °C, le Dogger. Mais comment cette chaleur arrive-t-elle dans les radiateurs et les douches des Chellois ? 

Des circuits indépendants

“L’eau remonte toute seule par un puits artésien, appelé le puits de production, de 1 800 mètres de profondeur”, explique Jérôme Champre­donde, chargé d’affaires chez Coriance, le gestionnaire du réseau via sa filiale Chelles Chaleur. Dans un échangeur, la chaleur de l’eau géothermale est transmise à de l’eau de chauffage, qui parcourt ensuite 14 km à travers l’agglomération. Chaque immeuble desservi est équipé à son tour d’un échangeur où le circuit d’eau de l’immeuble puise la chaleur du réseau, chaque circuit étant indépendant.

Des économies d’énergie

Après son passage dans le premier échangeur, l’eau géothermale est réinjectée dans la nappe, ce qui en fait une ressource 100% renouvelable, inépuisable… et propre. C’est la première énergie renouvelable en Ile-de-France ! “Par rapport au gaz naturel, l’énergie fossile la moins émettrice de CO2, le réseau de Chelles permet de réduire les émissions de CO2 de 4200t/an, ce qui équivaut aux rejets de 2 000 voitures émettant 160g/km et parcourant 13 000 km/an, constate Jérôme Champredonde. En moyenne, le réseau de chaleur de Chelles permet d’économiser chaque année 3 000 tonnes d’équivalent pétrole!”

La chaleur de la Terre présente aussi l’avantage d’être disponible de façon constante, 24 heures sur 24 et 365 jours par an. Une ressource qui reste largement sous-exploitée au­jourd’hui, mais qui a de l’avenir à Chelles.

Nadia LODDO

Le réseau de chaleur de Chelles a été créé en 1984.

Photo : Ville de Chelles

LA GEOTHERMIE…

“Très basse énergie”
Température < 30 °C
Elle exploite l’énergie présente partout dans le sous-sol ou dans les nappes phréatiques peu profonds. Elle est utilisée par les particuliers (pompes à chaleur) ou le petit collectif.

“Basse énergie”
Temp. entre 30° et 90 °C
Comme le réseau de Chelles, elle exploite l’eau chaude située entre 1 500 et 2 500 m. Idéal pour le chauffage urbain et des bâtiments importants.

“Moyenne et haute énergie”
Temp. entre 90° et 320 °C
Elle permet la production d’électricité par l’exploitation de la vapeur d’eau dégagée du sol, notamment dans les régions volcaniques. La seule centrale française se situe à Bouillante, en Guadeloupe.

La géothermie du futur
Il s’agit de créer des réservoirs géothermiques haute énergie artificiels, en fracturant les roches et en leur injectant de l’eau. Un projet pilote euro­péen est en cours à Soultz-sous-Forêts, en Alsace.

Plus d’infos sur http://www.geothermie-perspectives.fr/

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Régionales Ile-de-France : Karoutchi numéro deux sur la liste de Pécresse

Valérie Pécresse, désignée dimanche tête de liste UMP aux régionales par les militants, et Roger Karoutchi, son rival malheureux, ont scellé lundi leur réconciliation en se partageant les deux premières places de la liste régionale, ont-ils annoncé.

La ministre de l’Enseignement supérieur Valérie Pécresse sera tête de liste et le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement Roger Karoutchi sera son numéro deux, ont-ils annoncé à l’issue d’une courte entrevue au conseil régional, au lendemain du résultat de la primaire.

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